Description
Hormis dans un certain nombre de sociétés dites « primitives », le peuple, c’est-à-dire les manants, les ploucs, les culs-terreux, les ouvriers et tous les sans-grade qui sont le sel de la terre en produisant les richesses, a toujours été méprisé par ceux qui l’oppriment et l’exploitent. D’une manière brutale ou plus soft.
Certains, aujourd’hui, semblent découvrir l’Amérique. Le ci- devant Macron, c’est vrai, ne fait pas dans la dentelle. « T’as qu’à traverser la rue pour trouver du boulot », « T’as qu’à bosser pour te payer un costard »…
Reste que ce mépris du peuple a toujours été. Justhom nous le rappelle. De de Gaulle à Macron, en passant par Pompidou, Giscard, Mitterrand, Chirac, Sarkozy et Hollande, il en a toujours été ainsi.
En clair, le mépris du peuple n’est pas l’affaire de x ou y, mais l’affaire d’un système social fondé sur le pouvoir des plus forts sur les plus faibles. Le capitalisme et la démocratie bourgeoise en étant les derniers avatars.
De ce point de vue, s’attaquer aux effets en négociant le nombre de maillons des chaînes de l’esclavage, sans s’attaquer aux causes de l’esclavage, relève clairement de la collaboration. Vous ne voulez plus être méprisés. Alors, battez-vous. Désobéissez à tous les pouvoirs. Les grands comme les petits.
Additional information
Année de publication | |
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Auteur | Justhom |
ISBN | 978-2-900886-11-3 |
Nombre de pages | 132 |
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