Avec « Les trous de mémoire (suite) », Benoît Rey poursuit son récit.
Après « Les Egorgeurs » et « Les trous de mémoire » il raconte son arrivée en Ariège. Pas un sou vaillant mais une énergie débordante pour retaper les ruines d’une vieille ferme, y installer une auberge, une salle de spectacle, une imprimerie, une piscine associative…
Des rencontres innombrables avec des gens « ordinaires » et des « personnalités de toutes sorte, dont Oliveinstein. L’aventure d’un lieu d’acceuil de toxicos.
Mille et une petites et grandes luttes de toutes sortes s’égrennant à la grande horloge de la vie d’une génération qui n’a jamais renoncé à changer les choses et le monde.
Ecrit dans une langue alerte, simple, dense et dépouillée de toute fioriture ou artifice, ce livre est un bonheur littéraire rare. De ceux qui restent en mémoire.
Un article sur Le Post : http://www.lepost.fr/article/2011/02/13/2404544_des-trous-de-memoire-bien-remplis-2.html