La crise mondiale actuelle n’est pas un épiphénomène dû à la rapacité des banquiers et autres financiers. Elle résulte des vices cachés de la pensée libérale, tant politique qu’économique, dès ses origines. Le néolibéralisme de ces trente dernières années ayant simplement aggravé les choses. Le libéralisme, en effet, de par sa «flexibilité», a permis aux «libéraux pratiques» (financiers, manageurs, experts idéologisés, etc.) de s’emparer de L’Etat pour édicter des politiques favorables au capitalisme, au patrimoine, à la rente et aux riches. Mais les fondements moraux, anthropologiques, culturels, sociologiques, juridiques, économiques du libéralisme ont toujours reposés sur du sable, du vent et des larmes. C’est ce que la crise actuelle qui est une crise de civilisation est en train de prouver.
Ce livre compare le libéralisme au proudhonisme. Proudhon étant considéré comme l’un des «pères» de l’anarchisme social. Il compare les fondements des deux doctrines. Il énonce ce qu’il aurait pu en être comme ce qu’il pourrait en être selon une approche proudhonienne des choses et de la vie.
Et c’est peu dire que ça laisse pantois!
Et plein d’espoir!
Jacques Langlois, 66 ans, marié, deux très grandes filles, a été cadre supérieur à EDF/GDF, spécialisé dans les «richesses» humaines. Il a milité à la CFDT et à la CGT. Il est socialiste libertaire depuis toujours et écrit assez souvent dans le Monde Libertaire et sur http://divergences.be. Il a publié une dizaine
d’ouvrages sociopolitiques. Il tient le blog : http://siolgnal.unblog.fr
140×210 mm, 304 pages,
isbn : 978-2-914980-86-9
15 €