Description
Ce coffret cartonné propose le plus large corpus actuellement possible des œuvres du poète-chansonnier, poèmes, textes plus « politiques », théâtre, inédits variés, accompagnés de deux cahiers couleur de 16 pages dont l’un contient les dessins de Gaston Couté.
Le coffret comprend 2 tomes
TOME 1
CORPUS : Poèmes et chansons, chansons sociales et autres textes (récits, théâtre, manuscrits et courriers…), dessins de Gaston Couté.
NOTES et GLOSSAIRE.
580 pages, 15 x 22,5 cm – nombreuses illustrations, cahier couleur de 16 pages.
TOME 2
BIOGRAPHIE : Une vie bellement légendée d’Alain (Georges) Leduc.
ANNEXES : La Guerre sociale, rapports de police, témoignages (Pierre Mac Orlan, Maurice Héliot, Clovis, Fernand Desprès, Jehan Rictus, Bernard Dimey…),
Le Vent du ch’min, Le musée de Meung-sur-Loire, discographie…
340 pages, 15 x 22,5 cm – nombreuses illustrations, cahier couleur de 16 pages.
La presse en parle :
Creuse-citron, mai-juillet 2019, n°60
Siné Mensuel, n° 84, mars 2019
La Raison, n°638, février 2019
Le Canard enchainé, 12 décembre 2018
Le Monde Libertaire, n°1801, décembre 2018
Additional information
Année de publication | |
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Auteur | Alain (Georges) Leduc, Gaston Couté |
ISBN | 978-2-900886-01-4 (Tome 1) 978-2-900886-02-1 (Tome 2) 978-2-900886-03-8 (Cahiers +CD) |
Nombre de pages | 604 (Tome 1) 512 (Tome 2) 31 (Cahier + CD) |
Alain TURBIDE –
Je viens de payer 45€ (Paypal) pour la souscription COUTE, mais le bon de commande ne permet pas d’écrire….
J’attends avec impatience cette réédition ! merci de l’avoir faite
Alain TURBIDE
le Mont Charvet, 9 chemin de Ronde
73160 COGNIN
René Soulé-Péré –
Quel plaisir, cette biographie : non seulement Gaston Couté mais vous reconstituez l’atmosphère qui a marqué son quotidien. Vous utilisez un style parsemé de remarques savoureuses, pleins d’un humour, d’une vision du monde que j’apprécie. J’ai souvent pensé à Les Anarchistes (Le Maitron) mais sous un jour agréable ; mais à quoi bon comparer un dictionnaire et une biographie ?
J’aime bien la pagination que vous conservez au long des deux tomes. J’apprécie les citations qui ouvrent les chapitres que vous illustrez d’un portrait de l’auteur (je ne sais pas si ça se fait souvent…). Je regrette de ne pas avoir entendu parler de la souscription.
J’ai fait la connaissance de l’œuvre de Gaston Couté (son nom ne m’était pas inconnu) par l’entremise de Claude Féron. Il y a une dizaines d’années il avait décidé de reprendre les textes qu’il avait mis en musique et interprétés pour le centième anniversaire de la mort de M. Gaston. Ses mais avaient beaucoup perdu de leur agitlié et, par un ami commun, il m’a autorisé à l’accompagner à la guitare. Le récital mis en place nous l’avons donné en première dans une petite salle à côté de chez lui, dans l’Yonne, mais la camarde en a décidé autrement et l’a empêché de mener à bien le projet. Il a eu le temps de me faire don d’un exemplaire complet des Éditons du Vent du Ch’min. Il m’a servi de base jusqu’à ce que j’acquière le fruit de votre travail sur un stand de la F.A. de Châlette-Sur-Loing/Montargis. Pour ce qui est du récital, j’en suis le seul dépositaire et je le donne à l’occasion, la dernière fois lors du congrès de la F.A. à Châlette-sur-Loing.
Quant à moi j’ai passé mon adolescence à Orléans, dans un quartier excentré, après avoir passé mon enfance à Sougy chez mes grand-parents dont la famille était originaire de Meung-Sur-Loire. La note 19 de la page 862 résonne à mon oreille, mes grand-parents parlaient d’un siau (un seau), d’une siautée (son contenu), de pourriau (poireau), d’un barriau (une barrière)… j’ai noté dans le sous-titre de la biographie l’adverbe « bellement » ; mon grand-père l’utilisait souvent pour dire « avec soin », « lentement ».
Cette adolescence m’a fait apprécier le fait que vous avez « arpenté » Orléans et ses environs. (p. 661, Romorantin est bien dans le Loir-et-Cher) ; les mentalités dans la ville ont bien changé à la suite des deux guerres.
Quelques remarques au fil de la lecture :
P. 93 « Dans le Jardin du Presbytère » le Vent du Ch’min donne 6 couplets, vous 4…
– p. 670 : potache (d’Alsace) : bien vu ;
– p. 672, note 21 : pourquoi ne parlez-vous pas de la chanson de Renaud ?
– p. 675 : Le revenant ; la date m’a d’abord surpris, j’avais oublié que Jean Bertola était passé par là ; à propos de Brassens (ses chansons m’ont permis d’apprendre à jouer de la guitare), la parenté me parait évidente mais je n’en ai jamais entendu parler ni lu une allusion quelque part…
– p. 783 : natürlich, cet adverbe allemand me parle ;
– p. 1031, malgré le comportement de Michel Desproges vous avez la grandeur d’âme de citer les textes qu’il a mis en musique. Respect.
J’aurais voulu vous adresser ces quelques lignes par courrier postal… j’espère ne pas avoir abusé de votre temps par cette lecture, je vous renouvelle toute ma gratitude et vous prie d’agréer mes salutations respectueuses
René Soulé-Péré
P.S. j’ai également noté quelques erreurs typographiques mais je pense que plus d’un lecteur vous les a fait remarquer.
XB (verified owner) –
Je viens de recevoir mon intégral de Gaston Couté. Je suis ravi !
L’édition contient en plus des œuvres complètes de d’une longue biographie de nombreuses illustrations et un tas de documents de l’époque. Elle vaut largement son prix.
Merci beaucoup de continuer à faire vivre ce merveilleux artiste. Je vais maintenant faire ma part du travail en mettant ces textes en musique pour les faire connaître autour de moi.
Sur la forme, l’envoi a été très rapide et le colis était soigné, j’ai même reçu un livre que je n’avais pas commandé en cadeau des éditions libertaires.
Merci Jean-Marc 😉